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Shakespeare : Tragédies , tome 1 Pleiade

Indisponible
Réf 1701
Gallimard 31/03/2002, 2002. Relié. État : Très Bon État. Gallimard. Présentation de l'éditeur Dans des traductions entièrement nouvelles principalement dues à Jean-Michel Déprats, ces deux premiers volumes de la nouvelle édition des Ruvres complètes de Shakespeare dans la Pléiade contiennent les grandes tragédies : - tome I : Titus Andronicus, Roméo et Juliette, Jules César, Hamlet, Othello. 190 X 110 X 44 1526 pages.

William SHAKESPEARE
William Shakespeare
Œuvres complètes, I
Tragédies
Tome I
Trad. de l'anglais par Line Cottegnies, Jean-Michel Déprats, Jérôme Hankins, Richard Marienstras, Yves Peyré, Lois Potter, Jean-Pierre Richard (1949 - ), Henri Suhamy, Catherine Treilhou-Balaudé et Gisèle Venet. Édition publiée sous la direction de Jean-Michel Déprats avec la collaboration de Gisèle Venet. Préface d'Anne Barton
Édition bilingue. Textes établis, présentés et annotés par les traducteurs et traductrices

Parution le 24 Avril 2002
Bibliothèque de la Pléiade, n° 50
Achevé d'imprimer le 28 Mars 2002
1744 pages, rel. Peau, 105 x 170 mm

ISBN : 9782070113620
Code distributeur : A11362
GENCOD : 9782070113620

Cette édition propose des traductions qui, presque toutes, ont déjà subi (victorieusement) l'épreuve de la scène. Soucieuses de la théâtralité du texte et de son oralité, elles respectent l'alternance de vers (rimés ou non) et de prose, et s'efforcent de rendre justice au pouvoir d'invention poétique et dramaturgique de Shakespeare. Elles sont dues, pour la plupart, au maître d'œuvre de l'édition, Jean-Michel Déprats, qui les soumet ici à une nouvelle épreuve : celle de la confrontation avec l'original anglais.
Car cette édition est bilingue. Autre vérité bonne à dire : depuis le XVIIe siècle, le texte des œuvres de Shakespeare n'a cessé d'être «amélioré» par ses éditeurs successifs. Rien d'étonnant à cela : aucune édition ancienne n'est susceptible de servir de référence absolue. On croit d'ailleurs savoir que Shakespeare n'est pas intervenu personnellement dans la publication de ses pièces. Il convenait donc de tenir le plus grand compte de la mouvance du texte et, dans le même temps, de se garder d'une sorte d'«impressionnisme éditorial» qui aurait consisté à s'autoriser des manipulations de toute nature dans l'espoir toujours déçu de saisir l'insaisissable, de retrouver ce qui est perdu : «le véritable Shakespeare». Shakespeare reste un mystère...
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