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Eléments pour une approche clinique de la psychose ordinaire Jean-Claude MALEVAL

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Réf 3227
Jean-Claude MALEVAL Maleval psychose ordinaire CM1Jacques-Alain Miller invente le concept dans les années 1990.Englobe une clinique par notion psychose sans déclenchement, non déclenchéeCertaines écoles lacaniennes ne parlent pas de psychoses ordinaires mais plutôt d'état-limites,qui est la grande notion la plus utilisée.Ipa : ce concept le plus svt avec état limite plus large q psychoseY en a ds bergeret cas d’hyst !Tas concepts : schizoidie, schizoph latente, psychose froide, psychose blanche…Les discernmts de la struct : enjeu majeur des entrt prélimÇa cdtne man décisive conduite de la cureLes cliniciens sont aujourd'hui confrontés à des demandes accrues de sujets pour lesquels ilsse posent la question de la psychose mais sans délire, ni hallucinations ni mélancolie.Plus frequemment ados, troubles biz ms pas francht psychotiqC’est une question majeur car la plupart des analystes lacaniens disent que la moitié de leur clientèle présente une psychose ordinaire. Selon Maleval, la majorité sont des psychotiques etla moitié présente des psychoses ordinaires (quand elles sont stables, elles sont aussi appeléescomme tel).La psychose ordinaire peut inclure la psychose médicée, thérapiée ou supplée : c'est une psychose stabilisée. La psychose avérée peut, par la suite, se présenter comme une psychoseordinaire.Comment repérer la psychose ordinaire? C'est une clinique discrète de la forclusion du Nom-Du-Père. Certains disent que ce n'est pas une psychose mais que certains sujetstémoignent de signes discrets de la forclusion du Nom-du-Père. Ils peuvent aussi témoigner d'une vie sociale satisfaisante.Les signes discrets de la forclusion du Nom-du-Père sont :-Les phénomènes élémentaires : concept introduite par Lacan (dans sa thèse, il parle de phénomènes élémentaires, en dresse une liste ; ce n'est plus comme ça aujourd'hui.Maintenant, il existe 3 grandes approches du phénomène élémentaire : la première estl'équivalent chez le psychotique du fantasme fondamental du névrosé, qui l'orientedans l'existence. Par exemple, l'intuition chez Schreber est celle d'être une femme :c'est comme si le fantasme fondamental du psychotique était à ciel ouvert (c'est ici quel'on voit la structure du phénomène élémentaire). Pour Maleval, cela paraitinsuffisant : il existe des phénomènes élémentaires qui ne se réduisent pas à unfantasme fondamental.-Dans la thèse de Miller, tout phénomène élémentaire serait un S1 qui témoigneraitd'une chaine brisée quand se déconnectent des S2. Par exemple, certains sujetsévoquent qu'un mot s’impose à eux mais qu'ils ne savent pas quoi en faire; ce sont desmots qui prennent un poids et captivent le sujet. Aussi, un élément déconnecté de lachaine, un mot pas comme les autres prend une grande importance et peut, ensuite,construire un délire. C'est un mot ds sa pureté, déconnecté. En résumé, le phénomèneélémentaire est un S1 (notion plus large et pertinente) mais pas suffisant.-Miller parle de phénomènes élémentaires à propos de Joyce (L) : expérience quand sescamarades l’attachent et qu'il dit qu'il a été disconscient : mon corps n'a rien ressenti,et même pas affect, pas énervé contre ceux qui l’ont tapés ; caractère imaginaire plus

Jean-Claude MALEVAL
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