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LETTRES DE MADAME DE SEVIGNE

Indisponible
Réf 1319
LETTRES DE MADAME DE SEVIGNE, DE SA FAMILLE ET DE SES AMIS.
10 Volumes Format in 8: 13,5cm sur 21cm. Demi reliure cuir d'époque en bon état d'usage. Dos lisse. Titre et filets dorés. Quelques coiffes usées; quelques mors fendus ou usures d'usage sans gravité. Charnières solides. Reliure solide pour l'ensemble. Tranches lisses. Complet en 10 volumes. Bon état intérieur. Pratiquement pas de rousseur. Ouvrage illustré de frontispices et de nombreuses Planches hors texte: Fac-similés de lettres, vues de chateaux, Armoiries, Portraits etc... Le dernier volume contient la table générale des matières. Tous les volumes sont illustrés. A Paris Blaise. 1818. Bon état général de l'ensemble.

Marie de Rabutin-Chantal, baronne de Sévigné, dite la marquise de Sévigné, née le 5 février 1626 à Paris et morte le 17 avril 1696 à Grignan, est une épistolière française.

Orpheline en 1633, car son père Celse-Bénigne de Rabutin (1596-1627), baron de Chantal, meurt lors du siège de La Rochelle (1627-1628), où sa mère Marie de Coulanges, née en 1603, le rejoint dès 1633. Sa grand-mère paternelle était sainte Jeanne de Chantal, fondatrice de l’ordre de la Visitation.

Marie de Rabutin-Chantal coule néanmoins une jeunesse choyée et heureuse, d’abord chez son grand-père, Philippe de Coulanges, puis, après sa mort en 1636, chez le fils aîné de celui-ci, Philippe de Coulanges. Un autre oncle, l'abbé Christophe de Coulanges, sera son ami paternel et l'administrateur de ses biens. Elle a pour cousin germain le chansonnier Philippe-Emmanuel Coulanges, époux de Marie-Angélique de Coulanges, également épistolière de renom.

Une solide éducation, guidée en partie par l'oncle Christophe, lui vaut une connaissance parfaite de l’italien, assez bonne du latin, et des notions d’espagnol.

En 1644, elle épouse Henri, baron de Sévigné, dit le marquis de Sévigné (1623-1651)[1]. Elle devient veuve à vingt-cinq ans en 1651, quand son époux est tué lors d’un duel contre Miossens, chevalier d’Albret pour les beaux yeux de Mme de Gondran, sa maîtresse.

Elle eut un fils Charles de Sévigné (12/3/1648 Château des Rochers-26/3/1713 Paris), baron de Sévigné, dit le marquis de Sévigné, marié à Jeanne Marguerite de Mauron mais sans postérité et une fille Françoise de Sévigné.

"La correspondance de Mme de Sévigné avec sa fille, Françoise de Sévigné, comtesse de Grignan, s’effectua à peu près pendant trente ans en lui écrivant chaque semaine trois à quatre lettres".....


MADAME DE SEVIGNE
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