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LES TROIS COLONNES - Franc-maçonnerie - EO unique avec envoi de René Guilly - LES TROIS COLONNES SAGESSE FORCE BEAUTÉ ET LES TROIS GRANDS CHANDELIERS

Indisponible
Réf 2279
http://www.logenationalefrancaise.org/trentenaire
Franc-maçonnerie-LES TROIS COLONNES - EO INTROUVABLE
LES TROIS COLONNES SAGESSE FORCE BEAUTÉ
ET LES TROIS GRANDS CHANDELIERS
René G.
LES CAHIERS DU RITE MODERNE FRANÇAIS RÉTABLI
LOGE DU DEVOIR ET DE LA RAISON
Édition originale 1963 Format 22*28 – 175p
Important afin d’éviter tout malentendu :
Rarissime édition originale introuvable - Occasion bel état intérieur – Illustrations N/B - Reliure thermocollée - Tâches sur la 4ème de couverture
Livre dactylographié en tirage offset

Très rare envoi de l’auteur signé René Guilly

Qui est René G, qui signait aussi René Desaguliers de son vrai nom René Guilly
RENÉ GUILLY, pseudo RENÉ DÉSAGULIERS (1921-1992) fut l'un des chercheurs les plus pénétrants de l'histoire maçonnique, dans les dernières décennies. Pendant plus de trente années, il appliqua à la redécouverte des sources traditionnelles de la Maçonnerie, les exigences de la rigueur universitaire et les méthodes de l'érudition classique. Doublant cette authenticité historique d'une réelle intelligence du cœur, ce chercheur, qui fut aussi un cherchant, a ouvert la voie à une lecture nouvelle et féconde des symboles et des usages fondamentaux de la tradition maçonnique spéculative.
Le 26 avril 1968 René Guilly fonde la Loge Nationale Française (LNF)
En 1970, il fonda, puis dirigea pendant vingt-deux ans, la revue Renaissance Traditionnelle, qui s'est peu à peu imposée comme l'une des références majeures dans le domaine de la recherche sur les origines et les fondements traditionnels de la Franc- Maçonnerie. C'est dans cette revue que furent publiés la quasi-totalité de ses nombreux travaux
LES TROIS COLONNES
Sagesse, Force et Beauté et le Rite Moderne Français
Origine anglaise de Sagesse, Force et Beauté
Le Nom du Maçon
Le Mot du Maçon
La signification maçonnique de Force et Beauté
Les colonnes et les Surveillants
Les colonnes et les globes
Le transfert de la colonne Boaz-Beauté au rite Ancien
Origine et signification de Sagesse
Sagesse et le Ternaire
La place des trois colonnes
Les colonnes et les vertus théologales
Piliers ou colonnes ?
Les colonnes et les Trois Grands Maîtres
Les colonnes et les ordres d’Architecture
La Loge et le Temple
LES TROIS GRANDS CHANDELIERS
Les trois grands chandeliers et leur disposition dans le Rite Moderne
Les trois grands chandeliers et leur signification courante dans le Rite Moderne
Les trois grands chandeliers dans la Maçonnerie opérative écossaise au XVIIe
Les trois grands chandeliers dans la maçonnerie anglaise de transition
Les trois grands chandeliers et l’apparition du grade de Maître
Les trois grands chandeliers et les bijoux
Le système d’ensemble du Rite Moderne
Le système du Rite Moderne après l’inversion de 1740
Le problème du Rite Ancien
L’origine des Rites Écossais pratiqués en France pour les trois premiers degrés
Le Rite Écossais Rectifié
Le Rite Écossais Ancien et Accepté
L’allumage des colonnes lors de l’ouverture des travaux au Rites Écossais
Conclusion
ÉDITION ORIGINALE INTROUVABLE AVEC DÉDICACE

René Guilly :
Tout au long de ces années, les Frères qui avaient initié cette aventure s'employèrent, avec courage et beaucoup de générosité, à affermir la Fédération, développer ses Loges, et conduire sur ses chantiers de nouveaux Frères. C'est le labeur de quelques-uns de ces fondateurs que nous célébrerons tout à l'heure. Toutefois, il est impossible de parler de cette époque de fondation et de croissance de la LNF, impossible même d'évoquer le concept de cette Maçonnerie qui se voulait autre et cependant totalement intégrée à l'ensemble de la Maçonnerie française, sans évoquer la figure de son fondateur par excellence, de celui qui fut, par le seul consentement de ses Frères, pendant près de vingt-cinq ans, l'âme de ses travaux, et sa cheville ouvrière : je veux parler de René Guilly, dit René Désaguliers, qui nous quitta pour l'Orient Eternel en 1992.
Doté d'une personnalité hors du commun, imposante et pourtant discrète, sinon secrète, il n'aurait sans doute pas apprécié l'hommage public que nous voudrions aujourd'hui tous lui rendre. Pour cette fois, cependant, nous n'hésiterons pas à lui déplaire. Certes, un homme, si brillant, si éminent soit-il, n'est en Maçonnerie qu'un Frère parmi ses Frères. La Maçonnerie ne reconnaît pas les gourous, et René Guilly, le premier, en dénonçait souvent le danger. Par sa vie, cependant, par son œuvre, par l'apport qui fut le sien au sein de la LNF, il a puissamment contribué à lui donner son visage et à façonner ses traits les plus marquants. Nombre d'entre nous ont eu le privilège de le connaître, et nous avons tous reconnu en lui un Maçon exemplaire de la LNF.
René Guilly était né en 1921, et, après la guerre, il fit ses premières armes dans le journalisme, en travaillant notamment à Combat, où il s'occupa pendant un temps de la chronique parisienne, puis de la critique d'art.
Après des études de lettres, il s'orienta vers les Musées de France, et fut pendant des années, au Musée du Louvre, l'assistant du célèbre Germain Bazin. Il acheva cette carrière comme Conservateur en chef, dirigeant les ateliers de restauration du Louvre, et comme professeur à l'Ecole du Louvre.
Cependant, l'engagement essentiel de sa vie, dans l'ordre intellectuel et spirituel, il l'avait contracté en 1951, lorsqu'il fut initié dans la Loge La Clémente Amitié du Grand Orient de France. Cette Loge jouissait du reste, dans l'Obédience, d'un prestige ancien et d'un passé flatteur. N'avait-elle pas eu le privilège d'initier, le 8 juillet 1875, en un même soir, Emile Littré et Jules Ferry ? L'événement avait attiré ce jour-là, autour de l'Hôtel du Grand Orient, rue Cadet, une foule considérable. René Guilly découvrit ainsi un monde nouveau et déroutant qui devait bientôt le fasciner, et orienter le cours de sa vie.
Très tôt, peut-être par déformation professionnelle, il conçut le projet assurément présomptueux de retrouver les véritables origines de la Maçonnerie française. Dans cette perspective, en 1955, il fonda au Grand Orient de France la Loge Du Devoir et de la Raison, où commença tout un travail dont devait sortir le Rite Moderne Français Rétabli - ultérieurement dénommé Rite Français Traditionnel. L'un des premiers, René Guilly comprit la nécessité impérieuse, pour les Maçons français, de retrouver et d'étudier les origines britanniques de l'Ordre et ses textes les plus anciens. A cette époque, celui que plus tard il désignait comme son "vieux maître", Marius Lepage, qui dirigeait alors la fameuse revue Le Symbolisme fondée par son propre maître Oswald Wirth, fit connaître à René Guilly un petit ouvrage, alors totalement inconnu en France et déjà épuisé en Angleterre, les Early Masonic Catechisms, publiés pour la première fois en 1943, par Knoop, Jones et Hamer. Cette découverte fut essentielle pour le travail de refondation auquel les pionners du Rite Moderne Français Rétabli entendaient se livrer. Deux cahiers fondamentaux furent publiés en 1961 et 1963, sous la signature de René G. et les auspices de la Loge Du Devoir et de la Raison : "Les Trois Grandes Colonnes, Sagesse, Force et Beauté, et les Trois Grands Chandeliers". Il y présentait, pour la première fois dans notre pays, une analyse systèmatique des sources maçonniques anglaises les plus anciennes, alors totalement méconnues en France. Il donna aussi, dès 1961, dans Le Symbolisme, sur un sujet profondément méconnu dans notre pays, un travail princeps en français intitulé "Note sur la Cérémonie ésotérique d'Installation du Maître de Loge".
En raison des difficultés diverses, tout à la fois humaines et intellectuelles, qu'entraînèrent les exigences d'une telle restitution traditionnelle, il poursuivit ce travail, à partir de 1964, à la Grande Loge Nationale Française-Opéra. Il y découvrit alors le Régime Ecossais Rectifié, et le Rite Emulation. Dans ces domaines nouveaux, il entama aussitôt le même travail de recherche, de restauration et d'approfondissement qu'il accomplissait, depuis plusieurs années, dans le cadre du Rite Français.
Le terme de cette démarche fut enfin la création, en 1968, de la Loge Nationale Française.





René Guilly
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